En écoutant nos interlocuteurs pendant l’été, de nouvelles interrogations émergent. Certains se questionnent sur le territoire du débat public :
« Pourquoi un débat public sur la seule Normandie ? Pourquoi pas un seul et même débat sur toutes les façades pour l’éolien posé ? Pourquoi faudrait-il commencer par la Normandie, qui l’a décidé, quand et après quelles consultations ? »
D’autres interrogent la taille des parcs : « Avec les éoliennes c’est un peu comme la devise des Jeux Olympiques : plus vite, plus haut, plus fort. On comprend la finalité économique de cette course, mais pour l’environnement est-ce raisonnable de vouloir toujours plus ? ».
Certains souhaitent débattre des impacts des innovations envisagées : « Et avec le changement climatique, que peut-on dire des effets sur la mer, sur la ressource, sur les vents, sur la chaleur émise ? Et ces très grandes machines, mesure-t-on leur impact sur les vents et les courants ? Faut-il alors mettre en mer des innovations que l’on maîtrise mal ? Pourra-t-on peser sur l’appel d’offre avant que tout soit figé ? »
Et vous, quelles sont vos interrogations ? Prenez deux minutes pour nous le dire.